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Les animaux maltraités |
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Le véritable amour pour les animaux ne se raconte pas.... il se démontre!!!!
- Si seulement quelqu'un pouvait l'aider ....
- Ils sont à la rue, quelqu'un peut les prendre???
- Si je pouvais, je l'adopterais ...
- Pauvre petit ....
- Moi, je ne peux pas l'aider ...
- Quel magnifique travail vous faites...
- J'ai déjà un chien à la maison, je ne peux pas...
Aie le courage d'être différent .... AGIS!
Tiré de Operation Colombia
Un "Bouquet alla bresciana" trouvé dans la poche de chasseurs vingtenaires. Ils sont encore plus insupportable que leurs grands-pères etpères qui ont braconné leur vie durant. Ceux-la le font et le feront, convaincus que c'est là le moyen de s'identifier à leur sous-culture de troglodytes.
C'est sans espoir, mais avec la promesse que nous ne les laisserons pas faire ....
Le désespoir donne des ailes.....ou des pattes....
Merci Marie Pichenotte Barrette !
Toute cette mise en scène n'aura servi à rien...
Pour les millions de victimes de cette cruelle TRADITION
Toute cette mise en scène n'aura servi à rien ...
L'aînée d'Obama est dégoûtée à la simple idée de caresser un volatile qui pour sûr lui est moins repoussant, une fois mort et dégoulinant de farce!!!
Mots clés : États-Unis, Barack Obama
Par Laure MandevilleMis à jour le 22/11/2012 à 14:38 | publié le 22/11/2012 à 08:03 Réactions (15)Correspondante à Washington
Il faisait doux mercredi dans le jardin aux roses de la Maison-Blanche, quandBarack Obama, accompagné de ses deux filles, est sorti du Bureau ovale pour accomplir un rituel désormais bien rodé: «gracier» deux dindes, à la veille de la fête nationale de Thanksgiving, qui voit chaque année les Américains engouffrer quelque 45 millions de volatiles dodus accommodés de purée de citrouille et coulis d'airelle. Est-ce la nouvelle du cessez-le-feu entre Israéliens et Palestiniens de Gaza qui vient de tomber sur les ondes? Ou tout simplement le caractère bon enfant de la cérémonie? En tout cas, le président est de bonne humeur, comme s'il décompressait après la pression formidable de l'élection toute récente et deson voyage en Asie, qui a pris fin 12 heures plus tôt. «Il paraît que la vie est faite de deuxièmes chances, en ce mois de novembre je suis complètement d'accord», commence-t-il.
Il ne se prive pas d'emprunter au vocabulaire de la course électorale, pour décrire les circonstances dans lesquelles les dindes Cobbler et Gobbler, deux énormes volatiles blancs, qui n'en finissent pas de gonfler leur plumage, ont échappé au triste destin de leurs congénères. C'est au terme d'un vote sur Internet que les deux volatiles, originaires d'une ferme de Virginie, ont été désignés pour être épargnés par la volonté présidentielle, explique le chef de l'État.
Leur propriétaire, salué par Obama, est à leurs côtés, en ce jour historique, face à une assistance d'une centaine d'invités et autant de journalistes dont les appareils photo crépitent sans discontinuer. «Les Américains se sont exprimés et ces deux oiseaux vont de l'avant», explique en souriant Barack Obama. À ce moment précis, Cobbler, qui a remporté les suffrages de la majorité, Gobbler n'étant donc que sa doublure, se met à glouglouter à pleine gorge. Le président a du mal à se retenir de rire.
La victoire de ces gallinacés, plaisante-t-il, avait été prédite par Nate Silver, le statisticien qui avait annoncé sa propre élection. Debout à ses côtés, ses filles ont l'air de subir un peu l'événement. Mais Barack Obama n'y prête pas attention. En cette journée d'action de grâce, qui trouve ses racines dans les premières années de la colonisation du territoire américain, quand les Européens installés de fraîche date remerciaient Dieu pour l'abondance des moissons et l'aide apportée par les Indiens, le président évoque la chance de vivre en Amérique, «le plus formidable pays du monde». Mais il évoque aussi les populations frappées par l'ouragan Sandy qui se battent pour reconstruire leurs communautés dans le Nord-Est, sans oublier l'hommage incontournable aux troupes déployées à l'étranger.
Puis vient le moment du «pardon». Barack Obama, encadré de ses filles un peu nerveuses, s'approche de Cobbler et esquisse un signe de croix qui symbolise sa grâce. Malia, 17 ans, refuse obstinément de caresser le volatile, mais Sasha elle, 11 ans, se laisse tenter. La cérémonie se termine dans la bonne humeur, permettant aux invités de serrer la main du président et de ses filles. Cobbler et Gobbler, 19 kilos chacune, iront couler des jours heureux dans les jardins de Mount Vernon, propriété du premier président des États-Unis George Washington, où les ont précédées les dindes miraculées des précédentes années. La tradition est en cours depuis l'époque de Kennedy. Seule ombre au tableau, la protestation du groupe de défense des droits des animaux Peta, qui a demandé au président de ne pas souscrire à cette tradition «dépassée», symbolisant selon lui le massacre de millions d'oiseaux «doux et intelligents». Peta préconise un Thanksgiving végétarien…
Tiré du mur de We Are Their Voice {Stop Animal Cruelty}
ARCA DE NOE LANCE UN SOS
Et que dire de l'individu qui l'a renversée, qui ne s'est pas même arrêté, ni pour aider, ni pour demander .... exempt de toute sensibilité et humanité. Notre camarade s'est arrêtée et est descendue de son véhicule et s'est trouvée face à une situation dantesque : une galga en sang avec les os des pattes à l'air, dans une mare de sang.
En dépit des avertissements de certains de ne pas la mettre dans la voiture "parce que cela tache", elle l'a emmenée à la clinique vétérinaire.
Silvi est sauve, mais à présent, nous allons devoir faire face à plusieurs opérations et il est possible que nous devions lui amputer les deux pattes. L'évolution de ces prochains jours est déterminante.
Vous savez quelle est notre situation économique, nous ne pouvons affronter de telles dépenses. Nous n'avons pas de liquidités pour faire face à autant d'urgences quotidiennes, nous sommes dans l'attente de devoir quitter notre refuge et nous devons en construire un autre. Nous n'en pouvons plus ...
On nous a fait un devis : 900€ pour l'opérer, mais nous n'avons pas cet argent.
S'il vous plaît nous avons besoin de toute l'aide possible. Collabore avec nous.
Tout versement sera utile et nous aidera à opérer Silvi.
Arca Noe Cordoba
BBK CAJASUR: 0237 0197 10 9156197772
LA CAIXA: 2100 3745 96 2200047206
CONCEPTO: AYUDA SILVI
Ya no podemos soportar más la insensibilidad y crueldad humana. Esta mañana una de nuestras voluntarias camino de su trabajo, se ha encontrado una galga atropellada. Unos hombres que habían presenciado el atropello la estaban sacando de la carretera, pero sólo para dejarla en la acera. Todos miraban, pero nadie hacia nada. Eso era todo lo que estaban dispuestos a hacer por ella, dejarla allí a su suerte, que no sería otra que una muerte horrible.
Y qué decir del individuo que la atropella y ni se para a ver, ni ayudar, ni preguntar... carente de toda sensibilidad y humanidad. Nuestra compañera paró el coche y se bajó, encontrándose una situación dantesca: era una galga ensangrentada, con los huesos de las patas fuera, en un charco de sangre. A pesar de las advertencias de algunos curiosos de queno la metiera en su coche "porque mancharía la tapicería", la ha metido y la ha llevado al hospital veterinario.
Silvi ya está a salvo, pero ahora nos enfrentamos a varias operaciones y muy probablemente haya que amputarle una o las dos patas. La evolución de los próximos días determinará su futuro.
Ya sabéis en la situación económica en la que nos encontramos, no tenemos capacidad económica para atender tantas urgencias diarias, estamos pendientes de un desalojo de nuestro albergue y tenemos que construir otro. No podemos más…Nos han dado un presupuesto de 900 euros para operarla, pero no tenemos ese dinero.
Por favor, necesitamos toda la ayuda posible. Colabora con nosotros, cualquier donativo será bien recibido y nos ayudará a operar y salvar a Silvi.
Arca Noe Cordoba
BBK CAJASUR: 0237 0197 10 9156197772
LA CAIXA: 2100 3745 96 2200047206
CONCEPTO: AYUDA SILVI
Grazie Jole!
Grazie Mafalda!
Tiré du mur de Alicia Flick
La vie est courte.
Ne fait de mal à personne. Brise les règles, pardonne rapidement, embrasse lentement, aime pour de vrai, ris sans te retenir et n'arrête jamais de sourire, même si le motif te semble bizarre.
Il se peut que la vie ne soit pas la fête que nous espérions, mais pendant que nous sommes ici, vivons!
Gracias Isabel!
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J'ai un ange à la maison. Pensez à eux, soutenez-les!
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