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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 22:07

 

Dommage que la vidéo de cette émission ne soit pas dispo.... on verra, si quelqu'un a eu l'idée de la mettre sur youtube

 

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Les orques comme tous les animaux marins sont des animaux sauvages que l'on maltraite lorsqu'on fait d'eux des pitres. Le fait qu'ils soient nés en captivité n'y change rien. Les conditions de détention sont des conditions de bagne.... et les musiques assourdissantes, une torture en plus.
 

Souvenez-vous :

 

http://lesanimauxmaltraites.over-blog.com/article-sea-world-2006-le-soigneur-a-bien-failli-y-rester-108530525.html


 

Sur le lien suivant.... les derniers instants de la soigneuse Dawn Brancheau

(c'est pas obligé...)

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=Ao9_zOpLyog

 

L'entreprise lucrative de Seaworld cache la vérité à ses clients et fait tout pour étouffer les affaires, qui pourraient nuire à son chiffre d'affaires.

 

Si l'on est contre les cirques avec les animaux, on ne peut pas être pour les parcs aquatiques animaliers, car c'est la même m...e!!!!

 

 

Emission du 26 décembre 2013

Temps présent [RTS / Our Turn Productions / Manny O Productions]
Temps présent [RTS / Our Turn Productions / Manny O Productions]
Pour des raisons de droits cette video n'est pas disponible sur notre site.

La vengeance des orques

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Ils constituent le clou du spectacle, c’est pour eux que des millions de visiteurs fréquentent les parcs aquatiques animaliers comme Seaworld: l’orque, dite "baleine tueuse". Mais en 2010, c’est le drame. Une jeune femme, soigneuse d’orques, meurt tragiquement, attaquée par Tilikum, la star de Seaworld, le plus vieux des orques. Malgré les centaines d’attaques de ces orques tenus en captivité, Seaworld minimise. Ce reportage-choc révèle comment la mise en captivité et le traitement de ces animaux, en liberté inoffensifs pour l’homme, ont développé une psychose vindicative et meurtrière.

Elle s’appelait Dawn Brancheau, elle était une soigneuse d’orques, habituée à nager avec eux dans les piscines de Seaworld, à se laisser porter à califourchon, les nourrir en toute confiance, leur faire des câlins même. Ce 24 février 2010, ses animaux chéris, mascottes des plus petits et stars absolues des grands shows aquatiques, s’emparent d’elle et la poussent vers le fond de la piscine jusqu’à la noyade. L’un des orques impliqués est le plus ancien des cétacés en captivité, celui qui clôt les spectacles en éclaboussant le public: Tilikum. Ce même Tilikum qui au total, causera la mort de trois soigneurs d'orques.

 

L’affaire suscite l’émotion aux Etats-Unis, fait les titres des networks. Ces animaux mythiques dont l'image de gentillesse et de douceur contribue à faire venir des millions de visiteurs dans les parcs du puissant Seaworld, seraient-ils finalement de cruels cétacés, dangereux pour l’homme? Craignant pour ses affaires, la compagnie met la faute sur les dresseurs eux-mêmes, assurant que les orques n’y sont pour rien. Quatre ans plus tard, ce reportage diffusé dans le cadre de Temps Présent, qui a suscité l'émotion partout dans le monde, sous le titre de "Blackfish", relance la polémique. Car l’histoire de Tilikum révèle la cruauté des hommes, les conditions effroyables de sa capture, le confinement en piscine de béton, la séparation d’avec sa mère. Tout cela, prétendent les experts en biologie marine, a développé une véritable psychose chez l’orque. Une psychose qui se retourne, en captivité, contre l'homme, brutalement et sans que l’on s’y attende. Car ces animaux ultra-sensibles, dont les scanners du cerveau montrent une sphère de l’émotion surdéveloppée, cachent une souffrance profonde. Une souffrance qui ne fait pas les affaires de Seaworld, entreprise cotée en bourse, dont les profits sont étroitement liés à l’image angélique de ces gentils monstres marins.

 

Ce reportage, qui a fait le tour du monde et suscité de nombreuses réactions d’indignation pour ce qu'il révèle, est diffusé pour la première fois en Suisse, dans le cadre de Temps Présent.

 

Rediffusion le vendredi 27 décembre 2013 à 0h20 et lundi 30 décembre 2013 à 12h55 sur RTS Deux.

Générique

Un reportage de Gabriela Cowperthwaithe

 

http://www.rts.ch/emissions/temps-present/5370871-la-vengeance-des-orques.html

 

Pour celles et ceux que l'anglais ne rebute pas.....

 

 

Publiée le 4 sept. 2013

Killer whales at SeaWorld are looked at and the truth about their conditions and abuse are shown in the new documentary, BLACKFISH. Director Gabriela Cowperthwaite went inside SeaWorld to show how Orcas turn on their handlers and how the animals suffer from being shipped around the world and treated abusively. It is a striking film that is shared here on BYOD with clips and in-depth discussion.

FILM AND GUEST INFO:
Blackfish - Many of us have experienced the excitement and awe of watching 8,000 pound orcas, or "killer whales," soar out of the water and fly through the air at sea parks, as if in perfect harmony with their trainers. Yet this mighty black and white mammal has many sides -- a majestic, friendly giant, seemingly eager to take trainers for a ride around the pool, yet shockingly -- and unpredictably -- able to turn on them at a moment's notice. BLACKFISH unravels the complexities of this dichotomy, employing the story of notorious performing whale Tilikum, who -- unlike any orca in the wild -- has taken the lives of several people while in captivity. So what went wrong?

Shocking, never before seen footage and riveting interviews with trainers and experts manifest the orca's extraordinary nature, the species' cruel treatment in captivity over the last four decades and the growing disillusionment of workers who were misled and endangered by the highly profitable sea-park industry. This emotionally wrenching, tautly structured story challenges us to consider our relationship to nature and reveals how little we humans truly know about these highly intelligent, and surprisingly sentient, fellow mammals that we only think we can control.

Gabriela Cowperthwaite - Gabriela Cowperthwaite is a documentary filmmaker who for more than 12 years has directed, produced and written documentary programs for television networks including ESPN, National Geographic, Animal Planet, Discovery and History.

In 2010, Cowperthwaite completed the award winning feature length documentary, City LAX: An Urban Lacrosse Story. The film chronicles the lives of six 12-year-olds in inner-city Denver, CO, as they and their families struggle through middle school in their gang-ridden neighborhoods. City LAX was acquired by ESPN and DirectTV.

In 2009, Cowperthwaite completed a film for UCLA International Medicine in conjunction with the International Rescue Committee, which focuses on clinics in war-torn regions, with the emphasis on providing ground-breaking medical care for victims of violence. It has been translated into three different languages and will be distributed in eight countries.

Cowperthwaite, who is Los Angeles based, is currently directing a campaign for Supply and Demand, a commercial directing agency based in New York and Los Angeles.

ADD'L LINKS:
http://www.magpictures.com/blackfish/
https://www.facebook.com/BlackfishFilm
https://twitter.com/blackfishmovie
https://twitter.com/MagnoliaPics

BYOD Full Episodes Playlist:
https://www.youtube.com/watch?v=rizf7...

BYOD Short Clips Playlist:
https://www.youtube.com/watch?v=lh2yk...

https://www.facebook.com/BYODOC?direc...
https://www.facebook.com/thelip.tv?re...

EPISODE BREAKDOWN:
00:01 Welcome to Crime Time.
00:25 Introducing Gabriela Copperthwaite.
01:10 Discussion on how Filmmakers interest gravitated towards making
documentary on whales.
06:08 Blackfish, clip.
09:20 Gabriella discusses John Crowe and interviewing him.
12:35 Blackfish clip—John Crowe and capturing Orca whales.
18:51 Blackfish clip—on Orca and family unit
20:00 Gabriella discusses family unit and community of whales.
22:50 OSHA regulates the trainers at Sea World
24:00 Sea world new way of capturing whales.
27:22 Blackfish, clip: Tamary.
35:40 Thanks and Goodbye.

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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 12:54

 

Les lendemains de fêtes ne se font pas attendre....
Autant on revend les cadeaux qui n'ont pas plu
Autant on se défait des animaux offerts...
Surpris???
Pas moi
Un animal pour beaucoup, ce n'est qu'un cadeau... et pas beau, de surcroît

 

Merci Norma!

 

SPA : la moitié des animaux offerts sont ramenés !

Publié le 26/12/2013 à 08:30 | 1

SPA : la moitié des animaux offerts sont ramenés !

SPA : la moitié des animaux offerts sont ramenés ! 

Un petit chat pour Noël ? Ou plutôt un gros chien ? Les animaux de compagnie peuvent être, pour certains, un magnifique cadeau au pied du sapin. Cependant, d’autres n’hésitent pas à s’en débarrasser une fois les fêtes de fin d’année terminées. Ainsi, la vice-présidente de la SPA de Toulouse, Anne-Marie Aubert assure que «50 % des animaux adoptés avant les fêtes sont ramenés en janvier». Un problème majeur pour un organisme dont le but est d’offrir une seconde chance aux animaux qu’il recueille. Traditionnellement, la SPA de Toulouse organise avant le 25 décembre le «Noël des animaux». Il s’agissait de deux jours de portes ouvertes lors desquelles il était possible d’adopter mais également de venir discuter et échanger autour des animaux. Cette année, il n’a pas eu lieu. «Nous avons décidé de ne pas renouveler cette opération car nous avions constaté que beaucoup d’animaux revenaient. Nous voulons donc voir si les gens vraiment intéressés par l’adoption d’un animal viendront quand même, c’est une expérimentation», argumente Anne-Marie Aubert. L’idée est donc de limiter les allers et retours d’animaux qui seraient adoptés puis rendus au refuge de la SPA. La vice-présidente profite de cette période de fêtes pour faire un appel aux dons : «nous avons surtout besoin de couvertures mais aussi de croquettes pour les chats et les chiens». Pour les amoureux d’animaux, que ce soit pour une adoption ou un don, le refuge est ouvert tous les jours du lundi au samedi, sauf les jours fériés, de 14 heures à 18 heures. «Nous accueillons les gens avec grand plaisir car il ne faut pas oublier que c’est un bel acte d’adopter un animal, quel qu’il soit», conclut Anne-Marie Aubert.

Pierre Bascugnana

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 09:56

 

Comme si cela ne suffisait pas....
Après l'avoir transpercé de part en part
Cette bande de dégénérés
Se tord de rire
Il est où le gag qui vous met tant en liesse?

 

 

 

La bravoure des aficionados

 


 

 

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Con 0 empatía¡¡¡¡que asesinos sois joer
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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 13:01

 

Et on l'a servie??????????????????????????????????

 


Accueil » Actualité » Beyoncé en fourrure de renard dans un resto végétalien
Beyoncé en fourrure de renard dans un resto végétalien
 1

Beyoncé et Jay-Z ont récemment annoncé qu’ils étaient en train de suivre un régime végétalien pendant 22 jours (jusqu’aux fêtes de noël).

Leur régime leur sert uniquement à perdre du poids et se remettre en forme pour les fêtes.Malheureusement, aucune réflexion un tant soit peu éthique n’a émergé de cette expérience.

Récemment Vegactu a publié un manifeste pour une mode sans fourrure animale. Il faut absolument interdire cette pratique barbare et sans aucune justification, les fourrures synthétiques sont plus vrais que nature.

La chanteuse Beyonce portait une veste à 3580€ de chez Christopher Kane, avec un col en fourrure de véritable renard.1

Veste avec un col en fourrure de Renard..

Veste que portait Beyonce, avec un col en fourrure de Renard..

Précisions :

  1. http://www.mytheresa.com/fr-fr/jacke-mit-camouflage-muster-und-fuchspelzkragen.html []

 

http://www.vegactu.com/actualite/beyonce-en-fourrure-de-renard-dans-un-resto-vegetalien-11747/#.UqL3vbttO4A.twitter

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 23:28

 

Gracias Mila!


Un vaste réseau  de trafic d'hormones de croissance sur des vaches laitières a été démantelé par la police espagnole. Il s'agit de l'opération : Brucela.

Plusieurs provinces sont concernées : Coruña, Santander, Asturias, Lerida. Rien qu'à Lugo, une soixantaine de personnes ont été inculpées. Aussi bien de petits exploitants que des agro alimentaires ayant pignon sur rue. En tout, une bonne centaine de personnes sont impliquées à des degrés différents.


Les hormones de croissance (BST), administrées par injections aux vaches laitières, sont interdites en Europe, car dangereuses pour la santé humaine. Elles augmentent les risques de cancer du sein, les  arythmies, les malformations foetales et même le diabète. En contre partie, la production de lait est multipliée par deux. Le fait que les vaches aient leur vie écourtée n'avait aucune importance, de même que le risque sanitaire qu'ils faisaient courir aux consommateurs. Les fioles contenant cette substance interdite en Europe, mais légale aux USA, provenait du Mexique.


Des complicités ont été dénombrées à plusieurs niveaux : des fonctionnaire ayant pour mission de contrôler les marchandises de l'aéroport de Barcelone El Prat, fermaient les yeux.

Les charges retenues sont celle de mise en danger de la santé publique, maltraitance animale et corruption.

 

 

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Cien imputados en Lugo por dopar vacas para producir más leche

Les daban una hormona prohibida en la UE por sus riesgos para la salud

     48 votos

La presunta utilización fraudulenta de una hormona animal denominada somatotropina bovina (BST) posibilitó que miles de vacas de Galicia y otras comunidades españolas produjesen más leche de la normal. Su uso está prohibido en la UE porque se considera que puede causar graves problemas de salud en los humanos. Una investigación, llevada a cabo por el equipo del Seprona de Lugo a lo largo de este año, puso al descubierto la existencia de una trama en la que participaban alrededor de un centenar de personas que se encuentran imputadas en las diligencias que lleva a cabo el Juzgado de Instrucción número 2 de Lugo.

El uso de esta hormona está permitido en Estados Unidos, donde no se detectó riesgo para la salud humana. En Europa, en cambio, hay estudios que concluyen que leche y derivados producidos bajo la administración de esta hormona aumentan el riesgo de cáncer de mama, provocan arritmias, malformaciones en fetos y hasta diabetes.

La operación realizada por los agentes lucenses fue bautizada como Brucela. Según señalaron abogados que participan en el proceso, todo el sumario será desviado, casi con toda seguridad, a la Audiencia Nacional, toda vez que los hechos fueron cometidos en diversas comunidades, entre ellas Galicia, a la cual pertenece el mayor número de imputados.

Solo de la provincia de Lugo, el número de personas que fueron involucradas en la presunta trama se aproxima a las sesenta. Las demás se reparten entre A Coruña, Santander, Asturias, Lérida y otras provincias españolas con una importante industria ganadera. A muchos de los imputados se les atribuye, entre otros, delitos contra la salud pública e, incluso, maltrato animal. El comportamiento de alguno de los acusados podría haber constituido un cohecho.

 

Alto funcionario

Entre los imputados se encuentra un alto funcionario del Servicio de Vigilancia Aduanera que estaba adscrito al aeropuerto de Barcelona El Prat. Los abogados consultados ayer no tenían constancia de que hubiese involucrados en situación de prisión provisional, aunque la jueza adoptó la decisión de retirarle el pasaporte a alguno de ellos.

¿Qué es la BST y para qué se utiliza? Un veterinario lucense explicó que también se le llamaba hormona de crecimiento bovino. Se produce en la glándula pituitaria del ganado, pero también se consigue de forma sintética en un laboratorio. Se administra a las vacas a través de una inyección. El animal llega a producir en algunos casos casi el doble de leche de lo que sería habitual. «Da mucha más leche, pero en cambio se reduce de forma notoria su tiempo de vida», explicó un veterinario.

La utilización de la hormona en las explotaciones ganaderas investigadas en esta operación era algo habitual y sistemático. A los ganaderos les interesaba, entre otras razones, porque su precio no era demasiado alto y lo compensaban ampliamente a la hora de la producción de leche.

 

De México

El producto que se administraba a las vacas supuestamente procedía de los mercados de México. Era un ciudadano de este país quien, supuestamente, lo introducía irregularmente en España.

Llegaba en pequeños envases que contenían las ampollas con la hormona. La puerta de entrada era el aeropuerto de Barcelona El Prat, donde, al parecer, algunas personas encargadas del control de las mercancías hacían la vista gorda. De hecho, en la lista de imputados hay funcionarios que tuvieron labores de vigilancia en la terminal aeroportuaria catalana.

Con el producto introducido en España todo era más fácil porque el cabecilla de la trama tenía una red perfectamente distribuida en diversas provincias que recibían diversas partidas de la hormona para, luego, despacharla entre los ganaderos que, en algunas explotaciones, la utilizaban de forma masiva. Muchos de los imputados son pequeños productores, pero también estarían involucradas algunas personas vinculadas con industrias lácteas que supuestamente conocían la operativa y no la pusieron en conocimiento de las autoridades.

En su momento, la mayor parte de los detenidos de fuera de la provincia de Lugo fueron trasladados a las dependencias de la Guardia Civil. De la gran relevancia de la investigación da idea el hecho de que hay más de una veintena de abogados personados, alguno de los cuales representa a una decena de imputados de la comarca de la Terra Chá, a la que pertenecen un buen número de los investigados en la provincia de Lugo.

La Audiencia Nacional habrá de decidir si la operación se juzga de forma conjunta o si, por el contrario, se reparte entre las diversas comunidades en las que operaba la trama y a la que pertenecen algunos detenidos.

 

http://www.lavozdegalicia.es/noticia/galicia/2013/12/04/cien-imputados-lugo-dopar-vacas-producir-leche/0003_201312G4P12992.htm

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 18:50

 

Soignies: vingt chats sauvés d’un élevage clandestin
3 décembre 2013

 

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Le vendredi 29 novembre 2013, le Service Bien-être animal du SPF Santé publique sollicite l’aide d’Animaux en Péril afin de recueillir une vingtaine de chats et quelques chatons saisis pour négligence grave. Les animaux appartiennent à un élevage non agréé de Sibériens et de Sacrés de Birmanie.

 

Élevés dans la crasse

 

Notre équipe se rend à Soignies, rejoignant la police locale et les inspecteurs vétérinaires du SPF Santé publique. Devant le seuil de l’habitation - une petite maison de rangée - l’odeur nauséabonde d’urine, d’excrément prend déjà à la gorge. Une fois à l’intérieur, l’air vicié devient insoutenable. L’habitation est encombrée d’objets en tout genre, bloquant même l’ouverture de certaines portes. Le sol crasseux colle aux semelles. Les animaux en surnombre se soulagent où ils le peuvent, jusque sur les meubles et dans les fauteuils.

 

 

Malades et non soignés

 

La majorité des chats souffre d’un manque criant de soins et d’hygiène. Malades, ils sont atteints de coryza, d’otite purulente ou de gale des oreilles. À force de se gratter pour tenter de soulager les démangeaisons, plusieurs d’entre eux montrent des plaies ouvertes au cou et à la nuque. Certains arborent même des oreilles déformées par une gale chronique sévère et non soignée. Une partie est maigre. Tous sont envahis par les puces et leurs dents présentent un aspect lamentable. Dans la majorité des cas, leur état général laisse supposer des animaux beaucoup plus âgés qu’ils ne le sont en réalité.

 

Un élevage sans agrément

 

Il y a environ un an, l’élevage en question, situé dans le centre de Soignies, a perdu son agrément. Cette autorisation officielle, obligatoire pour l’exercice de l’activité d’élevage, lui a été retirée par le Service Bien-être animal après inspection, car il ne répondait plus aux normes de bien-être imposées par l’agrément.

 


 

Malgré cette sanction, l’éleveuse a poursuivi son activité, devenue illégale, et continué à vendre ses animaux, notamment par le biais de son site Internet.

 

 


 

Les chats confiés à Animaux en Péril ont tous été pucés le jour de leur arrivée et sont actuellement sous traitement. L’association attend désormais l’annonce de la saisie définitive et le rétablissement complet des animaux avant de pouvoir les proposer à l’adoption.

 

 

 

 

Et on charge....

 

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La pisse déborde!!!!

 

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On a même le sens de .... l'humour!!!!

 

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L'état, l'état!!!!

 

 

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C'est la forme!!!!

 

 

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http://www.animauxenperil.be/pages/news/2013-12-03-saisie-soignies-vingt-chats-sauves-d-un-elevage-clandestin.html#.Up9ozyjFX_R


 

 

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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 21:20

 

Les élevages de chiens auront encore de beaux jours devant eux... surtout en ces périodes de Fêtes, où la tentation est grande de vite glisser une petite boule de poils dans le chausson.
 

Nombreux sont ceux qui se sont fait avoir....

La prise de conscience doit absolument se faire et c'est à travers ce genre d'article, de vidéo, que cela sera possible.

Il semble pourtant que ces mises en garde ne suffisent pas, qu'encore et toujours, certaines personnes désireuses de faire des économies continuent de faire leurs emplettes sur Internet.


 

UN CHIOT N'EST PAS UN OBJET

UN ANIMAL N'EST PAS UN OBJET, QUE L'ON BRADE.

(Si je m'écoutais, je dirais : BIEN FAIT POUR LEUR GUEULE..... s'il n'y avait pas des millions de petites vies en jeu!)

 


Acheter un chiot, dont les origines sont douteuses, c'est participer à la maltraitance animale et continuer d'alimenter les réseaux mafieux, c'est pourtant pas compliqué à comprendre!!!!!!

 

 

L'histoire de la famille Gentle....

Lisa, la mère en voyant que son jeune fils semblait présenter des signes d'autisme a pensé que la venue d'un chiot serait un plus dans la vie de son enfant... 

Bref

L'annonce est belle, les photos encore plus. Elle ira chercher un chiot bichon maltais et aura comme interlocutrice la pseudo éleveuse qui a réponse à tout. Le chiot pourtant mis à côté de sa supposée mère, ne se comporte pas comme il le devrait. En fait la "mère" ne le regarde même pas. La sciure, qui est prise dans la fourrure proviendrait de la cour...! Le chiot est doté d'un certificat, le fameux Kennel Club Certificate....

 

Dans les faits le chiot semble éteint, ce que Maman Lisa attribue à la séparation d'avec sa mère. La truffe coule, ses yeux pleure et durant la nuit c'est la cata... il vomit du sang. De toute urgence, ils se rendent chez le véto. Le diagnostic tombe : parvovirus! Le chiot, malgré la mise sous perfusion, décèdera de cette terrible et contagieuse maladie (Le véto devra absolument TOUT désinfecté, du sol au plafond afin de ne pas contaminer sa clientèle animale... on oublie, trop souvent de relever ce point).

 

Après une facture de 1.500 £, soit l'équivalent de 1.800€, il ne leur reste plus que leurs yeux pour pleurer.... L'éleveuse ne répond plus, elle a même déménagé...! 

Toby n'aura survécu que 6 jours, 6 jours d'agonie!

 

Forte de cette mauvaise expérience, elle s'est dirigée cette fois-ci vers un club agréé...

 

 

Lisa, posant avec son fils et ses deux bichons, issus d'élevages reconnus!

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Attention, ces chiots sont sevrés trop tôt, ils ne bénéficient pas de l'éducation que doit leur apporter leur mère. Ce manque est un aspect important dont il faut tenir compte. De plus, le fait que ces bébés soient expatriés si jeunes, bien souvent sans primo vaccination et sans vaccins contre la rage, les rendent non seulement vulnérables, mais aussi dangereux pour toutes les personnes qui les auraient côtoyés. Il n'est pas rare que ces structures mafieuses soient établies dans des pays où la rage urbaine sévit. Indépendamment des pays de l'Est, il existe aussi des exportations de Turquie et de Russie. 


 

Chiots Loulous de Poméranie vivants, découverts lors d'une enquête à Manchester

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Shock: Buckets of live puppies found in a police raid in Manchester which have sparked a major RSPCA investigation into puppy trafficking

 

 

 

Les grandes races ne sont pas épargnées

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Vouloir faire des économies, cela  a un prix. Ce prix, c'est immanquablement celui de la misère, de la souffrance et de la mort.

 

 

Foreign gangs, rabies and appalling cruelty. The sickening truth about those cute Christmas puppies for sale on the internet
  • Vile multi-million pound trade is preying on the British love of dogs
  • 'Designer puppies' farmed in appalling conditions by East European gangs
  • Many have health problems as a result of being bred in cramped conditions
  • More lenient EU laws were brought in last year on the movement of pets 
  • Rabies risk as gangs are cutting corners on vaccines

By STEVE BIRD

When Lisa Gentle thought that she recognised signs of autistic behaviour in her young son, she decided to follow expert advice and get an affectionate puppy to help keep him calm.

The curly-haired Bichon Frise with its huge, adorable dark eyes was meant to bring joy to her family. Instead, she and her son Christian watched helplessly as the poor puppy suffered a protracted and agonising death.

Naively, Lisa had thought she was buying from an experienced breeder. In fact, the animal had been reared on a puppy farm, where profit is far more important than the welfare of the dogs.

 

 

The Gentle family’s harrowing tale is just one example of how easy it is to fall prey to the unscrupulous gangs behind a multi-million-pound trade in puppies. It is an industry as emotive as it is immoral, and preys cruelly on the British love of dogs.

A Government e-petition calling for restrictions on the sale of puppies has received more than 100,000 signatures — the tipping point to trigger a Parliamentary debate — and MPs are expected in 2014 to address the issue of the increasing number of puppy farms in the UK.

 

 

Nor is it just within our own borders that these unscrupulous people operate. 

Since 2012, when Britain adopted more lenient EU laws on the movement of pets, East European gangs have been trafficking so-called ‘designer puppies’ often farmed in squalid conditions in countries such as Hungary, Poland and Romania.

A single trip, with pups cowering in the backs of vans for more than 1,000 miles, can net a gang tens of thousands of pounds as the animals — taken from their mothers at a pitifully young age — are sold on the internet or even at the side of the road near major UK ports.

More worryingly, experts warn the gangs are cutting corners on vaccines that could see Britain suffer its first rabies case on the mainland in more than 40 years.

Mrs Gentle’s experience with her Bichon Frise, Toby, is a salutary lesson for anyone thinking of buying a dog. It also illustrates how deceitful this trade can be.

‘I was very naïve when buying Toby,’ the 34-year-old mother-of-three from High Wycombe, Bucks, admits. 

‘I am speaking about this now to try to ensure others don’t make the same mistakes, and to help bring an end to the cruel world of puppy farming.’

A few years ago, she had read how children with autism can benefit from the calming effects of having a dog. She settled on a Bichon Frise, as the breed are renowned for being gentle and affectionate.

The advert in her local free-ads paper simply offered ‘ready-to-go male puppies’ from a litter of Bichon Frise apparently bred in Ruislip, West London. After a brief phone call, she drove to a terrace house on a 1970s estate.

‘I can see now that the woman there had tried to create an air of respectability,’ says Lisa. ‘Three Bichon Frise puppies were asleep in an area set aside for dogs. 

‘The woman claimed the bitch that was in the house was the puppies’ mother — but, looking back, she showed absolutely no interest in her supposed offspring.

‘When I picked Toby up, there was sawdust matted into his coat, but there was no sawdust in the room. The woman explained this by saying there was sawdust out in the yard.

‘She kept saying the puppies were home-reared, and I believed her.’

The ‘breeder’ also produced what appeared to be Kennel Club certificates — so further proof that she was a certified dog breeder. 

After handing over £400 — a relatively modest sum for this breed — Lisa left with her new puppy.

‘Christian spent the first evening with his head on Toby’s bed just looking at the dog,’ she recalls. ‘He was over the moon.’

But in stark contrast to her son’s excitement, the puppy was withdrawn and lethargic. Lisa believed it was pining for its mother.

But over the next few days, Toby became more withdrawn and would whine and cower under the dining table. Lisa took him to a vet, who gave him a shot of antibiotics.

That night, Lisa stayed up all night with the dog. 

‘I was really  worried,’ she says. ‘He hadn’t eaten anything since arriving at our home. His nose was running and his eyes were weeping. It was incredibly upsetting to see a puppy in such distress.’

The next morning, New Year’s Eve,  Toby took a turn for the worse and was vomiting. Lisa rushed him to a vets, where he was put on a drip. Blood samples were taken and he was kept in overnight. 

But at 8am on New Year’s Day, Lisa got a phone call from the vet to say that Toby had died. The blood tests showed the puppy had parvovirus — a highly contagious condition rife in dogs bred in cramped and unhygienic puppy farms.

‘I was totally floored,’ says Lisa. ‘We’d all fallen in love with Toby. It is very distressing that something so small and vulnerable had suffered so terribly. Christian was distraught.’ 

She later discovered the Kennel Club certificates she’d been shown were forged, and the supposed breeder, who had not returned any of her calls, had moved house. Lisa had spent more than £1,500 in veterinary bills.

‘Toby was obviously bred in a puppy farm,’ she says. ‘I now know it’s best to buy from a Kennel Club-registered or assured breeder, or from a rescue centre.

‘Buying a puppy cheap on the internet or from a newspaper advert is a false economy. Breeding a dog properly costs money.’

Research by the Kennel Club has found that one in five pups bought via websites or through social media die within six months. Half have behavioural problems, often associated with being removed from their mothers at a young age. 

One of the primary drivers of this scandal is the emerging menace of organised gangs, largely from Eastern Europe, cashing in on the EU’s lax border controls. 

EU rules introduced in January 2012 say a visitor to the UK can now bring in five micro-chipped pets. This has led to van-loads of 15 or 20 puppies accompanied by three or four ‘owners’ arriving at UK ports. 

If they have the correct paperwork, the authorities are powerless to seize them. Yet the animals are almost inevitably from puppy farms. 

Remarkably, it is the ferry, train or plane operator who is responsible for checking the pet passport. Add to that the fact that under EU rules there is no longer a need for a blood test certificate to prove that any vaccines given have actually worked, and you have what many now believe is a recipe for disaster.

 

 

Mark Rolfe, manager of Kent Trading Standards, which investigates allegations of false representation at the Port of Dover and the Channel Tunnel terminal in Ashford, has seen a ‘huge rise’ in reports of people arriving with puppies which are not, he says, what they seem to be.

‘In reality, some importers are simply delivering these pets to those who want to sell the puppies on,’ he says. 

‘Some young dogs can sell for thousands of pounds, which has led to a big increase in trade. Many importers are becoming greedy and falsifying pet passport records, or administering rabies vaccinations before the animal is 12 weeks old — the point at which the vaccine actually works. 

‘Others are providing false dates of births in pet passports to suggest the puppy was vaccinated at the correct age. This creates a risk of rabies entering the UK.

‘Previously, a dog would have to wait a minimum of six months after its rabies vaccination before entry to the UK. 

'Now, only a 21-day wait after vaccination is required, which means the dogs are much younger and so command a higher value.’ 

Sharon Edwards, the City of London Corporation animal health inspector, used to quarantine up to 20 dogs or cats that were from abroad and had insufficient vaccinations.

But in 2012, after the UK adopted the EU rules, she quarantined 71 dogs. Microchips showed the dogs were mainly from Eastern Europe, with some from Turkey and Russia.

‘The majority are then being advertised for sale from private homes, and some are even pre-sold before they arrive here,’ she says.

It is usually only when the new British owner takes the pet to a vet that they discover the puppy was bred abroad and its vaccinations were administered when the animal was too young for them to give it proper immunity.

The Department for Environment, Food and Rural Affairs’ own statistics show that before the UK adopted EU laws only 127 animals, mainly dogs, were seized and put into quarantine, compared to 417 in 2012 after EU rules were introduced.

These Eastern European gangs know that the network for selling puppies bred on a near-industrial scale already exists in Britain.

Breeders in the UK have to be licensed by the local council, and are inspected to ensure they meet legal requirements concerning animal welfare. 

While some breeders are responsible, others have been found to be producing dogs in huge numbers and with scant regard for the animals’ welfare. (A bitch which is pushed to produce as many puppies as possible will usually have two litters a year of up to ten pups each.)

The Kennel Club defines a puppy farm as an establishment where the welfare of the dogs is secondary to making profit. It claims that tens of thousands of puppies bought via the internet die each year before they reach six months old.

Undercover investigations by journalists and animal rights activists have revealed woefully poor standards of animal welfare at some licensed Welsh sites. 

There is also the very real possibility that some puppy farms are operating without a licence and so are not even being inspected by councils.

Most licensed breeders sell puppies on to pet shops — a trade which is itself condemned by animal welfare campaigners — or privately.

 

 

Less scrupulous ones ship the puppies on to a network of sellers, who pose as local breeders by placing adverts on the numerous websites selling puppies, or in local free-ad papers. 

Dealers know that a picture of young puppy in an advert has that all-important ‘cute factor’ and thus is more likely to be sold. Like their Eastern European counterparts, these ‘sellers’ want the puppies as young — and as cute — as possible. 

The farm can sell them for £30 a time, with the most sought-after being sold by the dealers for more than £500.

While anyone buying a puppy should always ask to see it interacting with its mother to prove it has not been sold on from a puppy farm, these ‘sellers’ are adept at lying about the absence of a bitch, claiming she is at the vet’s, or being taken for a walk. 

Last year, the RSPCA found 80 puppies, including French Bulldogs worth up to £1,600 each, in buckets at homes in the Manchester area run by such sellers. Four dead pups were also discovered.

The RSPCA returned to one of those properties recently and discovered 50 puppies, including shih-tzus and Pomeranians — so-called ‘handbag dogs’ — again dumped in buckets, despite the owner having been banned from keeping dogs. 

Two women were arrested on suspicion of conspiracy to commit fraud and money laundering. It is believed they were selling the dogs to a generation of buyers accustomed to buying from the internet.

Marc Abraham, a vet who regularly appears on TV, is urging people to buy dogs only from a rescue centre or, if set on buying privately, to ensure the pet is seen interacting properly with its mother. 

He fears that some farms can house 100 breeding bitches, each capable of producing up to 20 puppies a year, in unhygienic conditions.

‘Puppy farmers know how much money — much of it cash-in-hand and tax-free — can be made in this trade,’ says Mr Abraham, who set up Pup Aid, an organisation campaigning to ban puppy farms.

‘The puppy farm pups get taken away from their mothers at just four or five weeks, and are not socialised properly, leading to behavioural problems. 

'Some are inbred and have genetic abnormalities. Others can develop the parvovirus, which is common in such farms.’

He also warns that while many people think they’ve got a bargain by buying over the internet, they often discover that vet bills for treating something like parvovirus can climb to £2,000.

It is Mr Abraham’s e-petition on the Downing Street website which is calling for a ban on the sale of puppies if the animal’s mother is not present. 

Establishing such a protocol about the sale of puppies would be a sensible step in the efforts to regulate this murky trade.

Lisa Gentle says she will never buy through an anonymous advert again. She now owns two healthy Maltese Terrier pups, Beau and Louie, that she found through the Kennel Club Assured Breeder Scheme. 

At least she can be confident that they were raised with care. Like her, though, thousands of other families may have to learn the hard way that buying a puppy in Britain today can have heartbreaking consequences.


 


Read more: http://www.dailymail.co.uk/news/article-2515297/Foreign-gangs-rabies-appalling-cruelty-The-sickening-truth-cute-Christmas-puppies-sale-internet.html#ixzz2m6sk65j7 
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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 18:02

 

Sur votre gauche....
La langue, en train de se faire recoudre, d'un cheval peu participatif à sa séance de torture... oups! de dressage!
Les traumatismes endurés par ces pauvres bêtes, juste pour que certains puissent se pavaner et se mettre en avant!
C'est à vomir...
et on dit aimer les animaux??????????????????????????????

 

 

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CONTRO OGNI ALLEVAMENTO - CONTRO OGNI SCHIAVITU'!


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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 22:41

 

 

"L’Amour est dans le Pré" : Thomas, l’éleveur de chevaux, à nouveau condamné

Publié le 18/11/2013 à 14:28, Mis à jour le 18/11/2013 à 14:32 | 28

Thomas de L'Amour est dans le Pré./© PIERRE OLIVIER/M6

Thomas de L'Amour est dans le Pré./© PIERRE OLIVIER/M6 

Déjà condamné en septembre dernier après la découverte d’un poulain agonisant dans l’un de ses champs, Thomas Menant, candidat de la dernière saison de "L’Amour est dans le Pré" sur M6, est une nouvelle fois passé devant le tribunal correctionnel d’Amiens, comme le rapporte le Courrier Picard. L’éleveur de chevaux a été condamné la semaine dernière à 1000 euros d’amende avec sursis pour travail dissimulé dans son exploitation.

L’agriculteur aurait en effet démarré son élevage en tant que micro-entreprise en 2007 avant de s’agrandir et de développer son activité. Or, le jeune homme de 29 ans aurait omis de s’acquitter des cotisations qui vont avec. « Après ce début en micro-entreprise, cela fait des années que vous n'êtes pas conforme aux obligations sociales et fiscales » a déclaré le président du tribunal. De son côté, Thomas Menant explique que sa démarche n’était « pas intentionnelle ».

Le montant des cotisations non payées est estimé par la Mutualité Sociale Agricole (MSA) à 10 500 euros. Une somme dont l’éleveur devra s’acquitter dans les prochains mois. Les dettes s’accumulent pour le candidat de "L’Amour est dans le Pré" qui confiait récemment être ruiné suite à sa première condamnation et au procès qui lui a coûté 10 000 euros au total.

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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 14:14

 

En plein hiver......alors qu'il neige!

 

http://www.lematin.ch/suisse/suisse-romande/hiver-menace-huit-chats/story/24794730

 

 

L'hiver la menace, elle et ses huit chats

LOGEMENT

 

 

Une marginale de 74 ans avait jusqu’à hier pour quitter son appartement de La Chaux-de-Fonds (NE). Elle risque l’expulsion. Sous la neige, faute de trêve hivernale.

Par Vincent Donzé. Mis à jour le 22.11.2013 98 Commentaires

Vivian Geering ne veut pas quitter son trois-pièces à La Chaux-de-Fonds. Photos Sandro Campardo

Vivian Geering ne veut pas quitter son trois-pièces à La Chaux-de-Fonds. Photos Sandro Campardo

Faut-il interdire les expulsions en hiver?
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Le droit n’est pas de son côté: logée par un collègue devenu son ennemi dans un appartement communal de La Chaux-de-Fonds, Vivian Geering (74 ans) avait jusqu’à hier pour débarrasser le plancher, le locataire ayant rompu son bail avec la gérance. S’il n’est pas juridique, le problème est humain: Vivian Geering n’a nulle part où aller avec ses huit chats et depuis quelques jours, il neige à 1000 mètres.

A compter de ce matin, la gérance peut déposer une requête auprès d’un tribunal civil, seul habilité à envoyer la police, un serrurier et un déménageur chez Vivian Geering, mais pas du jour en lendemain. Des semaines s’écouleront et dans l’intervalle, le curateur cherchera une solution acceptable pour sa protégée, mais aussi pour la gérance.

N’y a-t-il pas une trêve hivernale dans l’exécution des ordres d’expulsion? C’est le cas en France, où depuis 1998, la loi rend illégale l’expulsion d’un locataire du 1er novembre au 15, voire au 30 mars, sauf si son relogement est assuré. Un nouveau texte voté ce printemps prévoit de plus le maintien de la fourniture en gaz et en électricité. Mais même outre-Jura, Vivian Geering ne serait pas à l’abri, puisque la loi française autorise l’expulsion d’une personne qui occupe illégalement un appartement. Ce qui est son cas: l’administration ne la considère pas comme une sous-locatrice, mais comme une «occupante illicite» dépourvue de contrat.

Et en Suisse? Le Code des obligations ne prévoit aucune trêve. Conséquence: «Si un tribunal tenait compte de la météo, une gérance ou un propriétaire pourrait lui tomber dessus», explique Yvette Paroz Veuve, greffière du Tribunal régional des Montagnes. La seule trêve tacite est celle des fêtes du fin d’année.

«Je vis constamment sous la menace et personne ne m’écoute», déplore Vivian Geering, à qui l’Autorité de protection de l’enfant et de l’adulte a désigné un curateur la semaine dernière.

Jamais sans ses chats

C’est un juge civil qui a ordonné la restitution de l’appartement et avant-hier, à la veille de la date butoir, Vivian Geering s’est présentée deux fois au guichet de la gérance des immeubles communaux. Mais le dialogue a tourné court: «Le locataire ayant résilié le bail, vous ne pouvez pas rester dans cet appartement», lui a indiqué la cheffe de cet office, Nathalie Rey.

Faire une exception dans son immeuble de la rue du Commerce, c’est impossible, d’autant qu’un projet de rénovation englobe toute une rangée de bâtiments: tous les locataires verront leur bail résilié, et ils sont nombreux.

La septuagénaire s’est vu proposer une chambre dans un foyer, mais elle refuse de se séparer de ses huit chats. C’est là que le bât blesse: «Notre vocation est sociale, mais lui dénicher un appartement, c’est mission impossible tant qu’elle s’obstinera à conserver tous ses chats», déplore Nathalie Rey.

Chauffée au mazout mais privée d’eau chaude et d’électricité depuis plusieurs mois, Vivian Geering sera-t-elle expulsée manu militari? «Elle ne se retrouvera pas sur le trottoir», promet Nathalie Rey. Le projet de la septuagénaire, c’est de mettre tous ses chats dans sa voiture. Et de laisser le moteur tourner quand il fait froid…(Le Matin)

Créé: 22.11.2013, 07h23

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