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Les animaux maltraités |
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Affublés d'accessoires aguichants, aspergés de phéromones, parfois rasés, ces chiennes (et chiens) déambulent contre leur gré dans les rues et parcs des grandes villes françaises. De l'autre côté de la laisse, des maîtres peu scrupuleux qui, pour une poignée d'euros, sont prêts à livrer en pâture leur fox terrier à un lévrier anglais en rut. Reportage sur une pratique scandaleuse, qui se banalise.
Roger est client depuis 2 ans. Plus précisément, c'est Raptor, son chien, qui est client régulier de prostitution canine. Si Raptor, puissant rottweiler de 72 kilos, est un chien plutôt attractif, il n'en est pas moinstimide et maladroit avec le sexe opposé. Pour Roger, célibataire de 53 ans, le bien-être de son animal de compagnie passe avant tout : "C'est pas parce qu'on a personne depuis longtemps qu'on n'a pas le droit aux petits plaisirs de la vie. Raptor, comme moi d'ailleurs, a des besoins naturels. Si il les satisfait pas, il est tout bougon, il déprime. Alors oui, je l'emmène voir les chiennes de la rue Pasteur, une ou deux fois par semaine et j'ai pas honte".
Ce soir c'est avec Kalina, une chienne de 18 kilos de race Terrier Tchèque, que Raptor finira la soirée. Pour 30 euros, Raptor aura le droit à passer 30 minutes avec la chienne, dans un van matelassé et insonorisé prêté par le proxénète canin. Épilée, maquillée, enduite de phéromones et portant un string de cuir, Kalina aura encore une fois réussi, malgré elle, a exciter le client.
A la Société Protectrice des Animaux, c'est le branle-bas de combat. Monique Friscourt, responsable du département Sévices & Maltraitance de la S.P.A. veut alerter les médias sur un phénomène aussi déplorable que méconnu : "Ces animaux n'ont rien demandé, il ne sont pas consentants, il faut faire arrêter cela le plus vite possible" s'insurge-t-elle - "On nous a rapporté des cas très graves : la semaine dernière, des passants ont été témoins d'une tournante sur caniche, le pauvre animal est toujours à la clinique vétérinaire, en soins intensifs".
A l'heure actuelle, un vide juridique embarrassant permet encore aux proxénètes canins d'exercer leur activité. Un vide que Monique entend bien combler, grâce à une proposition de loi visant à interdire le racolage canin, qu'elle vient d'envoyer au Président de la République.
Ecrit par Pascal Vatinel
Aux éditions Actes Sud (Aventure), 2012
Prix : 13,20 euros
A partir de 10 ans
La jeune vétérinaire Song Danming a quitté la capitale chinoise pour s'installer au sud du pays, dans une zone ou la pluralité ethnique et la simplicité de la vie campagnarde lui offrent un changement radical de de mode de vie. Très engagée dans la protection de la faune sauvage, elle a fait la connaissance du jeune Baiming, dont elle a tout de suite remarqué la sensibilité, l'intégrité et l'intelligence. Avec son copain Xiao Chu, l'enfant quitte régulièrement son village pour lui rendre visite et lui confier des papillons rares prélevés dans la jungle. Cependant, un beau jour, ce ne sont pas des papillons, mais des représentants d'une espèce présumée disparue que découvrent les deux garçons : des tigres, rescapés de la destruction de leurs territoires et du braconnage intensif dont ils sont l'objet. Alors que Baiming court prévenir la vétérinaire, Lin Guofeng, son oncle est bien vite informé par Xiao Chu de cette opportunité de se faire de l'argent. Le potentat local ne peut pas manquer une telle occasion et fait régner la terreur pour parvenir à s'emparer des animaux. Mais le docteur Song lui tient tête, avec l'aide d'une équipe de policiers qui refuse de céder aux pratiques de corruption en cours dans la localité. L'enjeu est de taille, car Baiming s'est enfuit dans la jungle, mettant sa vie en péril, pour échapper à la violence des adultes et rejoindre la famille de tigres.
Dans ce roman érudit à l'intrigue menée sans temps mort, Pascal Vatinel nous ouvre les portes d'une Chine méconnue où s'affrontent , comme partout ailleurs, deux façons de voir le monde, l'une portée par la cupidité, l'autre par la générosité. Mais lorsque la misère, la peur et l'ignorance s'en mêlent, le combat paraît bien inégal. Ni les pièges de la jungle, ni la puissance de l'argent ne sont passés sous silence dans le débat entre la protection des hommes et celle des animaux sauvages. Les uns sont-ils voués à détruire les autres pour survivre, voire pour prospérer ? Il faut sans doute beaucoup de courage pour défendre et faire accepter une alternative à cette fatalité. Les personnages prêts à relever ce défit sont ancrés dans la réalité, avec leurs convictions, mais aussi leurs doutes et leurs hésitations, ce qui les rend d'autant plus attachants. Les lecteurs apprécieront de trouver à la fin de l'histoire quelques pages qui les éclaireront sur leur détermination à protéger ces fauves et à lutter contre les divers dangers qui les menacent.
http://libr.animo.over-blog.com/article-le-tigre-de-baiming-119136728.html
Au début de l'année.... cette photo avait été diffusée
Ce regard, cette attitude, comment dire... j'avais l'impression de revoir un galgo, que j'avais perdu dans des circonstances très douloureuses....
Cette petite, c'était Alma, elle a été retirée à un gitan, aux abords de la perrera
Quelle douceur dans ce regard, que d'interrogations
Alma a eu de la chance
Une si belle petite ne pouvait que trouver une famille aimante qui allait désormais prendre grand soin d'elle
La voici tout heureuse
BRAVOOOOO & MERCI
Difusiòn a Topê !!!! Casa temporal URGE!!!
Esta galga le fue retirada a un hombre de etnia gitana mientras furtiveaba en una zona cercana a la perrera
Necesita muuucha difusiòn !!!
para una casa temporal o definitiva.
Ella merece su oportunidad de ser felìz, la seguimos ayudando?
contacto: emocionanimal@gmail.com
facebook: ::: Emoción Animal ::: .escuela de ciudad.
Que ruede !
MiL Gracias !!!
NDLR.... je ne comprends pas comment on peut "prétendre" récolter du bon, quand on commence par torturer un être sensible et innocent.. encore une idée tordue de l'humain.
By BECKY EVANS
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Chinese villagers have defended their tradition of hanging a live bull from a tree until it dies as part of a ritual to bring them luck and a bumper harvest.
The 'cow-hanging ceremony' has been carried out by the minority Dong people of southern China for almost 500 years and now attracts hundreds of tourists.
The tradition in Baojiang village, Guangxi Zhuang region, is supposed to bring good weather and a full harvest, as well as peace and prosperity.
Barbaric: The bull is hanged from a tree as part of a traditional Dong festival to bring good luck at harvest
Horrifying: In front of families and young children the bull is hauled up and hanged until it dies
Residents parade the bull around the area, where it supposedly collects bad luck.
They then choose a ceremonial tree in the village, from which to hang the animal, and decorate it with red flowers before it is killed.
Residents in Baojiang village, Rongshui, Guangxi, have denied the spectacle is cruel, and are refusing to give it up, especially as it is growing into a popular tourist attraction.
Lu Hung, who lives in the village, said the killing of the bull is part of their traditions.
He said: 'We also hang cows also to warn those people who don’t behave themselves. [This] used to be the threat of what will happen to them.'
The ceremony has been held annually for 470 years on June 2 of the traditional Chinese calendar and traditionally acts as a warning to villagers to abide by local rules.
Ceremonial: After choosing the tree, villagers then fix the animal with flowers and the rope
Cruel: The bull is decorated and then led around the village before it is attached to the tree
Once the animal is decorated and tied with the rope, the strongest villagers haul the terrified and struggling bull into the air where it eventually dies in front of families and young children.
The noose is sometimes looped over the animal's leg so it stays alive for longer for the hundreds of people who turn up to watch.
Villagers who watch the struggles will be blessed by the gods, according to tradition.
There are about three million ethnic Dong people in China and they have a distinct language and festivals from the rest of the country.
Many of their rituals are aimed at appeasing their gods and animals, usually chickens, are offered as a sacrifice.
The chickens are attached to 'sacred trees' until they die.
Tradition: The cow hanging ceremony has been carried out for hundreds of years in the area
Read more: http://www.dailymail.co.uk/news/article-2364099/Pictured-Horrifying-moment-live-bull-hung-tree-dies-Chinese-luck-festival.html#ixzz2ZPmh03XJ
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La plus grande des lâchetés de la part d'une personne, c'est de réveiller son amour et ensuite de l'abandonner
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Tiré du mur de YA BASTA de la matanza inhumana de animales por pieles
Tiré du mur de Fabrizzio Avellan Gallegos
Regardez bien si la tique est entière.... pas qu'un bout soit resté dedans....
Désinfectez
Mais parfois, la salive de la tique est allergène et du coup, un granulome se forme, des tissus conjontifs, qui "poussent"... mais pas de panique, rien de grave, juste esthétique. Cela prendra quelques semaines, et il n'y paraîtra plus.
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J'ai un ange à la maison. Pensez à eux, soutenez-les!
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